Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été. Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ? Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires - les politiques - surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences [...] Brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps